C’est en conjuguant ce pluriel qu’Acapestroupat devient absolument singulière. « La tête ébouriffée », c’est ce que vous dit le nom de la maison (« cap estropat ») en occitan ! Vous l’aurez compris, ici, on a les pieds sur terre, mais la tête pleine d’oxygène !
Acapestroupat est un lieu singulier qui se conjugue au pluriel. Sa pluralité, elle la tient de sa façon multiforme d’accueillir les talents !
Acapestroupat, le lieu multiple pluriel singulier
Entrez donc, découvrez Acapestroupat !
(J’ai laissé la clé sous le pot de fleurs de l’entrée, juste à côté de l’olivier 😉
Acapestroupat est une scène privée pour le public amateur d’art et de culture.
Tout au long de l’année, la maison programme et accueille des spectacles chez l’habitant. Théâtre, concerts, contes, poésie, projections, un panel large constamment renouvelé.
Ce sont des artistes professionnels, parfois renommés bien au-delà de l’Occitanie, que vous rencontrez dans le salon ou dans le jardin.
Une occasion unique… qui se transforme souvent en délicieuse habitude.
Acapestroupat est également une résidence disponible pour les artistes (on aurait eu tort de s’arrêter en si bon chemin !).
L’objectif ? Mener à bien la création d’un projet artistique dans le Lauragais.
Peut-être portés par le vent d’Autan, ou enchantés par le canal du Midi, les auteurs puisent une inspiration nouvelle dans ce havre de paix, propice aux rencontres enrichissantes et parfait pour une retraite créative.
Acapestroupat offre non seulement un cadre intimiste et adapté, mais aussi la logistique parfaite d’un lieu d’accueil des stages de ressourcement, de bien-être, de développement personnel.
Vous verrez, les participants tombent invariablement sous le charme de cette ancienne ferme typique.
La maison est idéale pour de vraies vacances à la campagne, dans le Lauragais, l’un des coins les plus réputés d’Occitanie.
Vous y trouvez un hébergement d’hôtes, tranquille, confortable et plein de caractère.
Décompression assurée, on s’y voit déjà.
Acapestroupat, l’ancienne métairie occitane qui conjugue le singulier au pluriel, je vous raconte son histoire ici :